La Fédération Dyspraxique Mais Fantastique

Qui sommes-nous ?

La Fédération Dyspraxique Mais Fantastique France, association de familles dont les enfants sont atteints de dyspraxie ou TDC (trouble développemental de la coordination) et troubles DYS associés est une association qui milite pour que :

  • la dyspraxie ou TDC (trouble développemental de la coordination) et les troubles associés soient enfin reconnus comme handicaps à part entière, de la même façon, sur tous les départements (intégration dans le guide barème)
  • la Fédération DMF milite POUR le maintien des PPS pour les élèves dyspraxiques tout au long de la scolarité et refuse la mise en place du PAP.
  • les manuels numériques soient inclus dans l’exception handicap en participant, avec le Cartable Fantastique, à l’évolution de la loi.
  • les enfants DYS aient réellement tous les aménagements pédagogiques et matériels adaptés dont ils ont besoin.
  • les droits des enfants DYS soient enfin respectés.

La  FDMF se mobilise toujours pour que:

  • les familles soient informées et accompagnées le mieux possible, afin de défendre leurs droits et ceux de leurs enfants.
  • les familles puissent bénéficier de vrais partenariats familles/enseignants/rééducateurs.
  • les professionnels et enseignants qui entourent l’enfant soient mieux formés aux troubles DYS.

Rassemblons-nous, protégeons nos enfants !

Rejoignez-nous!

Nos objectifs

La Fédération Dyspraxique Mais Fantastique se donne pour objectifs de :

  • Rassembler, informer et aider toutes les familles touchées par la dyspraxie ou TDC (trouble développemental de la coordination) et les troubles associés (dyslexie, dyscalculie, dysgraphie, dysorthographie, TDA/H)
  • Inciter les médecins, les psychologues, les pédagogues à s’interroger sur ces enfants « déroutants » afin que nos enfants soient diagnostiqués de manière précoce, soient pris en charge de manière adaptée et suivent un cursus scolaire normal.
  • Alerter les pouvoirs publics afin que la dyspraxie ou TDC (trouble développemental de la coordination) et les troubles associés (dyslexie, dyscalculie, dysgraphie, dysorthographie, TDA/H) soient reconnus comme un handicap à part entière avec leurs spécificités, et que s’en suivent :
    • la formation de rééducateurs spécialisés (orthoptistes, ergothérapeutes, psychomotriciens, orthophonistes, psychologues…).
    • la création de classes adaptées ou de tout autre dispostif permettant de garantir aux enfants dyspraxiques une scolarité normale et une formation professionnelle qui leur permettent d’accéder à l’autonomie à laquelle ils peuvent prétendre de plein droit.

Pour que cessent la discrimination, l’exclusion, tous ensemble, mutualisons nos expériences, nos compétences, nos énergies afin de créer un véritable réseau d’entraide. 

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